Flore d’hiver…

Je te regarde encore une fois. Je pense à la lumière d’hiver à 17 heures au travers des arbres taillés en marquise, à la blancheur de tes formes déposée sur la géométrie des branches qui n’attendent plus que le printemps. Flore Farnèse, tu es comme un don, une statue de pierre, une stèle, ma dernière habitude.