Éloge de la lumière…

Dans ce jeu de clair-obscur, la blancheur des murs peut paraître translucide, évidente et banale, alors qu’elle est détachée de l’ombre. Il se peut qu’une lumière ainsi définie n’ait aucune existence réelle. Il se peut qu’elle ne soit qu’un jeu trompeur et éphémère d’ombre et de lumière. Je le veux bien, et elle me suffit, car il m’est interdit d’espérer mieux.