Photo/Richard Alcock/réalisation/Gilles Dallière, Andrézieux-Bouthéon.
Franchir les portes closes de ce palais d’acier abandonné, gagner sa confiance comme un cambrioleur procédant à un repérage des lieux… Construire ce décor pour mieux en révéler l’envers dans un silence troublant, le silence de toutes les solitudes, où seuls se font entendre les grincements lugubres de cette usine désaffectée. l’envie d’y mettre du faste, d’en faire un décor intemporel, je l’ai fait pour mon père parce que cette usine porte encore notre nom.
suspendus : « Hector », 100% lin en 150cm de large, Nobilis et « Saraille », 100% lin en 305 cm de large, Designers Guild. 2 fauteuils « Victor et Victoria » recouverts d’un velours 100% coton, Élitis. Sur le fauteuil, « Hibiscus, 100% soie en 137cm de large, Lee Jofa chez Brunschwig & Fils. Plissé « Alexandre », 100% soie en 140cm de large, Manuel Canovas. Comme un tapis, « Amoura », 88% coton, 12% polyester, Harlequin chez Sanderson
Maison Française n°581
http://www.cotémaison.fr
Sublime décor que tu as fait dans cette usine désaffectée ….. Tu l’as fait revivre quelques instants grâce à ce décor fastueux ….. et le « nom » n’en est que plus mis en valeur.
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