Un écrin de rêve …

Le château de Chambord, ©gildalliere, automne 2024

Étrange, mais totalement assumé, « The Serpent Queen » mise beaucoup sur la forme. Les Châteaux de Chambord et de Chenonceau offrent un écrin somptueux aux manigances politiques de cette langue de vipère particulièrement habile dans la survie. La série a le mérite d’aller au bout de son concept, pour aboutir à un drama sérieusement réjouissant. Avec un ton fun assuré, Haythe traite la fin de la Maison de Valois sans s’offusquer de nos sensibilités de Français où notre bon Royaume est carrément comparé à « un trou à rats ». Mais il faut bien admettre que cette Catherine là a le verbe haut. De machinations en manipulations, de morts tragiques en manœuvres assassines, l’Histoire de France ressemble à du Game of Thrones et c’est plutôt cool. À voir sur MAX. #chambord #chambordcastle#serie #serpentqueen #valdeloiretourisme #château#francoisillevon #weekend #weekendvibes#architecturephotography #blackandwhitephotography@gillesdalliere

Clichés/adresses, Clichés/architecture, Clichés/expositions, Clichés/Inspiration, Clichés/photos, Clichés/tendances, Clichés/voyage

Un écrin de rêve …

Image

3 réflexions sur “Un écrin de rêve …

  1. Avatar de François-x Letournelle François-x Letournelle dit :

    Chambord… Un écrin de rêve… 1996, apparaissant tel que sur ta magnifique photographie, janvier, le 3, pour mon anniversaire, une exposition, « Chambord entre en lice – La tapisserie du XVIIe siècle à l’honneur », d’immenses salle vide, comme des places de village, seules les tapisseries réchauffent les murailles, et des feux de cheminées, ça et là, des troncs d’arbres pour buches à l’échelle du palais, seuls deux ou trois petits groupes de visiteurs, comme nous égarés, émerveillés, des regards étrangers, souriants, complices de feux en feux, mains en avant, pour de courtes et chaleureuses haltes; puis, dehors, la pluie verglaçante, le parebrise de la 3CV doublé de glace, l’A10 fermée sur ordre du préfet: interdiction de circulation, piégés dans la première station, 10, 20, 30 codétenus, bousculades sur les victuailles… et puis, en aparté, une employée : « …je termine mon service… vous voulez sortir…? …une chambre d’hôte? d’accord, je téléphone… suivez-moi… », la douillette chambre d’hôte dans la campagne cristallisée… janvier 96, le 3 janvier, Chambord, tel que sur ta photographie: Un écrin de rêve!

    Aimé par 1 personne

Répondre à François-x Letournelle Annuler la réponse.