Optique…
Photo/Gilles Dallière/Le jardin des Biehn/ Fès/Médina/Maroc
Le paradis vient d’un mot persan qui désigne un jardin entouré d’un mur protecteur. Dans le jardin des Biehn, les allées de zelliges magnétisent le regard. La perspective à pris de la hauteur. Le rythme des motifs joue sur la répétition, mais aussi sur la surprise. Les fesselles tremblent, glissent, se compriment, se déforment, étourdissent par leurs effets de matière. Elles donnent du sens à la vie.