
« Si c’était à refaire ? Je le referais mais je serais peut-être un peu moins sévère avec moi-même. » Giorgio Armani était un bourreau du travail, très exigeant envers lui-même…. Et envers les autres. La maison Armani était « une grande famille », d’accord, mais il fallait suivre. Ce perfectionniste têtu engouffrait toute son énergie dans son groupe. Un conglomérat de 9000 employés, 7 pôles industriels et plus de 600 boutiques pour une demi-douzaine de segments de marques dans le vêtement, de la Haute-Couture au Sport, plus des dizaines de déclinaisons de son nom, du maquillage à la déco. Et je ne parle pas de ses restaurants et de ses maisons, les siennes (Paris, New York, Milan, Pantelleria, St Moritz…) et celles, richement meublées, qu’il louait à une clientèle fortunée. On comprend qu’avec son management ultra-centralisé, il ait eu quelques angoisses et insomnies. #giorgioarmani #milan #reportage#maisonfrançaise @gillesdalliere @nicolasmilletphotographe

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