La circassienne…
Photo/Gilles Dallière/Le jardin des Biehn/La circassienne/Fès/Médina/Maroc
Le claustra projette son ombre dans l’espace et l’aube est immobile. Devant moi, les mille et une vies de Gali Hagondokoff, Comtesse du Luart ont inspiré cette chambre : la circassienne. Elle me parle à travers le moucharabieh et je respire l’air qui entoure son âme. Sur le rocking-chair de rotin, elle m’habite en son absence et je ne suis que ce qu’elle sent. Vous êtes si transparente Madame que l’invisible m’attire.