Poésie inutile.
Photo/Gilles Dallière/ Nice
Cher décor néoclassique, tu résistes encore, mais aujourd’hui la poésie est inutile. Avec le temps qui passe, pour seul titre de noblesse, tes effets tombent en ruine. Derrière ton âme gantée de blanc, tes doigts portent des traces de nicotine. Les architectes vont bientôt sévir. Ils opèrent à froid, ils décortiquent, ils désossent, ils trouvent des milliers de circonstances pour t’abattre. Ce sont de grands malades…