Le refuge…

Je dois entrer dans le cercle infranchissable où il n’y a que du verre brisé, avec deux cartons que je transporte devant et derrière moi. Je passe la barrière de tessons. Et le danger de tomber dans ces morceaux coupants m’enchante terriblement. Je suis proche de l’œil du système, et je n’ai plus qu’à franchir une zone terreuse et indéterminée, où les rats courent en tout sens. Le trou est là, comme un œil éteint.