Clair-obscur…

Je vis dans le clair-obscur de la conscience, sans jamais me trouver en accord avec ce que je suis. Les meilleurs d’entre nous abritent la vanité de quelque chose, et il y a une erreur d’angle dont j’ignore la valeur. Il m’arrive parfois, par certaines portes, d’apercevoir ce qui n’est peut-être que décor, mais là je suis subjugué par le style Art-déco, et je lève les yeux au ciel. Autour de moi le monde entier est confus, comme des voix perdues dans le labyrinthe des salons de la Villa Igiea.