Immersion dans la toile…
Photo/Gilles Dallière/Ma chambre/Paris
Dans la transparence de ma chambre, il y a la peinture de Gérard Drouillet. Ça bouge, ça claque, ça trace des symboles sertis de spirales, de cercles, de points chargés d’énigmes. Le noir prédomine sans fin sur l’ocre d’Eygalières parsemé de gris. Il y a de l’opulence, de la confusion, des pleurs, beaucoup d’amour et des questions. J’y trouve de la conversation, du plaisir, un univers fantastique libéré par la magie de la main de l’artiste effleurant la surface du papier. Impossible de m’en défaire.