Le corps, le portrait, ont toujours fasciné les photographes. Scrutés, exhibés, ils sont par excellence le temple de l’intime autant qu’une arène où se négocient désir, identité et émancipation du sujet. Entre repli et abandon, étendards politiques et performances sociales, leurs statuts ne cessent de se redéfinir à mesure qu’ils sont mis en scène et en images.
1/ « Mathilde », Paris, 1990, Paolo Roversi, Galerie Camera Obscura 
2/ « Mémoire du Lot II », 1990, Sophie Ristelhueber, Galerie Poggi 
3/ « Orange Taxi Cabs », 1968, Fred Herzog, Equinox
4/ « P201, Wendy », Diptyque, 2020-2023, Jeff Cowen, Willas Contemporary
5/ « Railway, TH 332 », Tania Franco Klein, Rose Gallery 
6/ « Snowy Owl » Tokyo, 2019, Chieko Shiraishi, Galerie Echo 119 #parisphoto #exibition #art @parisphotofair @roversi@cameraobscuragallery @ristelhueber @galeriepoggi@fredherzogphotography @equinoxgallery @cowenjeff@willas_contemporary @taniafrancoklein @rosegallery.official@chieko.shiraishi @galleryecho_

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