De la polychromie des murs…

Dans la vieille ville polychrome, je rentre dans le vif de la couleur, rouge antique, ocre jaune, rose ancien, bleu fané ou vert de gris, toutes soulignées de trompe-l’œil, « a fresco », caractéristique d’une véritable communauté de culture à la fois alpine et méditerranéenne. Dans tout ce rouge « sarde », l’azur disparaît sous les bandeaux et les frises linéaires de style Néo-classique et Art-nouveau.