Un édifice aux multiples influences…

L’intérieur de la chapelle expiatoire n’a pas la simplicité d’un volume centré, clairement constitué et dominé par sa coupole qu’on imagine depuis l’extérieur. On est au contraire étonné par la présence de quatre ouvertures zénithales, l’une au centre de la coupole, les autres en haut des culs-de-four : cette pluralité entraîne, par le biais du couvrement, une complexité accrue par l’emploi de divers types de caissons. Carrés dans la grande coupole, en référence au Panthéon romain et dans les voûtes secondaires, l’architecte a placé une résille de caissons octogonaux plus sophistiquée et décorative, associant ainsi dans un assemblage éclectique, davantage que deux logiques de décor contradictoires. Une polyphonie spatiale qui fait écho au morcellement du plan.
