L’extase de la lumière…

Ici, tout devient presque parfait, l’erreur même, l’imperfection trouve sa place dans une compréhension plus grande qui ne m’appartient pas, à laquelle je m’abandonne en fermant les yeux. Quand on dort on ne sait pas où on va, voilà ce que nous oublions de faire en marchant dans la ville, ne pas savoir.