Nice-ville.
Photo/Gilles Dallière/ Gare de Nice-ville
Retour à la case départ. Je quitte ce débordement de ferronnerie, sa verrière laiteuse qui éclaire à peine la fluorescence des TGV argentés, et tous ces Escalators glacés qui décomposent une architecture en apnée. Je retrouve Paris et sa jungle violente, ce cancer de la courtisanerie, cet arrivisme qui n’arrive à rien. Le gris a repris le pouvoir sur les mers du sud.
Eh bien à nouveau très joli texte
Bien sévère aussi pour…PARIS!
😀😀😀
P
Envoyé de mon iPhone
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