Il est 7 heures , par la fenêtre qui est devant de moi, je vois du vent, de la pluie, des températures qui peinent à dépasser 15 degrés. Autour de moi, tout est lumière et eau. Le ciel rattrape de près la mer et descend sur elle serré et bourru. Le sable, trempé, a disparu, Trouville-sur-Mer baigne, les arbres submergés ruissellent, la Touques elle-même, à marée haute, se noie, et les touristes de Normandie , en short, s’agrippent à leurs cirés. La mer s’était déchaînée à l’aurore et la voici maintenant heureuse.

