L’abandon…

En entrant dans la maison, j’entrais dans mon imaginaire, non pas comme si cet imaginaire m’appartenait ou était la source de mon identité, mais comme s’il y avait au centre de moi-même et de cette maison un lieu qui justement n’était pas moi, n’était personne et rien, était un tourbillon de possibles dans lequel les hypothèses allaient et venaient avec la saveur des friandises interdites.