Work in progress…

Je pense à cette vision comme à un décor, le vent en plus. Dedans, dehors, un spectacle permanent. Le décor est hanté, celui qui y pénètre ne le quitte jamais complètement, celui qui entre, entre dans le labyrinthe de la vie. Vivre, c’est passer d’un espace à un autre, en essayant le plus possible de ne pas se cogner.