Je barbouille…
Photo/Le barbouilleur/Tanger/Maroc
Mon petit chat, tu aimais la barbouille, mais là, tu as trouvé ton maître. Le garçon s’est surpassé. Avec toi, j’ai fait des voyages, c’est là que je suis devenu ton fils. On a tous plus ou moins mal vécu son roman familial. Aujourd’hui, je suis heureux de tout ce que nous avons partagé. Il y a beaucoup de choses qui se disent moins bien avec la parole. Tu m’as écrit de longues lettres. Tu as pesé tes mots. Loin, très loin de l’avidité, la cupidité, le mensonge, et la rancœur de ces deux derniers mois.