L’infiniment grand.
Photo/Gilles Dallière/Cythère/Gréce
En face de moi, au-delà des murs du monastère, il y a l’infiniment grand. J’aime ce carré infranchissable, cet implacable défenseur du vide. Te voilà, me suis-je dit. Te revoilà, silence massif des dieux. J’aime te faire face. Notre sort est lié. Un jour je cesserai de jouer. Ce jour là tu t’effondreras, avec moi. Et tous mes maux éclateront de rire.