De l’ombre à la lumière
Photo/Gilles Dallière
Je pose mon regard sur tout cela. Je feuillette comme un album de souvenirs les images fixées pour toujours sur la toile du virtuel. L’ancien et le moderne, les vestiges classiques et les gratte-ciels des métropoles, le paysage et l’architecture. Une patine sombre recouvre les cartes du passé pour mieux en accentuer la mélancolie. Et d’être encore étonné par la projection de l’ombre sur la lumière, d’avoir le regard émerveillé devant la beauté de ce contraste, c’est un sentiment auquel je ne peux renoncer. Et dire qu’il y a des gens qui ne voient rien.
Magnifique…
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