L’extase…

Nue encore de plaisir, Tu m’envahis d’une douceur d’équinoxe. J’aime toucher ton cœur où se divise avec tes seins notre mélancolie du vide. Et quand tu déplies tes jambes jusqu’aux étoiles, dans le noir, ton goût de silex m’asphyxie.
L’extase…
Nue encore de plaisir, Tu m’envahis d’une douceur d’équinoxe. J’aime toucher ton cœur où se divise avec tes seins notre mélancolie du vide. Et quand tu déplies tes jambes jusqu’aux étoiles, dans le noir, ton goût de silex m’asphyxie.