
Où vas-tu ?
Et où vas-tu donc comme ça ? Où vas-tu ; il n’essaie même pas de répondre à la question. Il laisse simplement son cœur se vider de sa douleur. Il s’y autorise très rarement, craignant de succomber. Redoutant ce qu’une telle faiblesse risque de libérer. Redoutant de fondre en larmes. Heureusement il est seul sans personne pour le voir. Où vas-tu donc comme ça ? Là où me conduit la boussole du cœur.