Fenêtre sur cour…

La lumière se faufile le long des murs de brique dans des perspectives inhospitalières. La nuit tombe. Elle est happée dans le labyrinthe architectural de la cour intérieure, et j’ai l’impression que la frontière entre la réalité et le monde de l’illusion est mouvante. C’est une sensation étrange qui s’exprime par un monochrome presque luisant. Les ombres et la lumière sont enveloppées d’une infinité de couches, et quand je les contemple, le point de fuite finit par m’échapper.