(La)Horde…

Tu danses, et là où finit ton corps, commence ta présence. Ta voix, tes yeux, ton front, tes gestes, tu ne peux pas être plus nue. Tes seins, de les toucher, mes mains s’envolent comme des ailes. Tu embellis à vue d’œil tant je rêve de toi. Je me dilue dans ton odeur. Je me répands dans ton cerveau et comme la lune là-haut se lève dans les nuages, tu cours à travers ton enfance avec des ombres à tes pieds, mais tu ne sais pas laquelle suivre avant de me quitter.
Joli texte et jolie photo
merci
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Merci Patricia
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sublime… as usual
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