L’élégance
Photo/Gilles Dallière
À la recherche d’un nouvel art de vivre dans lequel domine la simplicité des formes, les architectes vont réinterpréter les volumes et géométriser le décor. Nous sommes en 1922 et en descendant ces quelques marches, je me mets à rêver de sentir les effluves de « Ambre Antique », « Émeraude », « L’Origan », « L’Aimant », « Le Jasmin de Corse », où le premier parfum de François Coty, industriel, parfumeur, propriétaire du château Saint-Hélène, « La rose jacqueminot ». C’est bien ça l’élégance. Aucun autre débordement n’est permis sinon imaginer entendre le craquement d’une soie froissée, fantôme parmi les fantômes où l’ombre portée de mes années profondes.