L’épouvantail du temps
Photo/Gilles Dallière
Quand les silhouettes des palmiers vacillent sur la mer sombre, très loin à l’horizon, le bleu profond rejoint le bord du ciel. Dans ce palais construit sur la hauteur, l’ombre des arbres s’avance à la lisière de la verrière comme un bouquet sans lendemain. Les bruits de la ville se perdent dans l’air. Les colonnes impériales se dressent comme l’épouvantail du temps. Et quand la lumière n’est plus qu’un pétale froissé, le fantôme de la princesse Kotschoubey donne l’air à la nuit.
Hello Encore une performance! Visuel et écrit Bravissimo XX 💋
Envoyé de mon iPhone
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