La digue du cul…
Photo/Gilles Dallière
« En revenant de Nantes, de Nantes à Montaigu, la digue, la digue, la digue du cul… Je band’ mon arbalète et j’la lui fout dans l’cul »…Et oui, pour un bout de ciel bleu, les 235 mètres de blocs de béton s’enferrent dans le sexe, la drogue et la violence. C’est la digue du cul. Le chemin devient sec et brutal, âmes sensibles s’abstenir. Pour les autres, on reprend tous en cœur les paroles de la chanson paillarde chantée par Les Frères Jacques… « Qui bande et qui décharge et qui t’en fout plein l’cul…La digue du cul…Qu’il entre et qu’il y reste et qu’il n’en sorte plus ». Aujourd’hui, on parle de casser la digue, la digue, la digue… et de l’agrandir encore pour pouvoir accueillir de plus gros navires de croisière. Mais ça c’est une autre histoire… La digue du cul…