L’arbre de vie…

On m’a offert un livre noir trouvé dans un couvent tibétain. Peu importe si je ne sais le lire, il me suffit de l’ouvrir au souffle du vent et les mots s’envolent et s’accrochent, tout là-haut sur la cime des arbres. Alors, je me suis assis dans l’herbe de mes pensées.