Où paraît la courtisane…

Dans une nature majestueuse, la Vénus est en passe d’être submergée par la végétation. Elle jette sa tunique, et le blanc poème de son corps d’albâtre apparaît tout à coup dans sa splendeur. Elle promène ses lignes serpentines, ses flancs polis, ses seins à servir de moule à la Manufacture de Sèvres, au beau milieu du jardin secret. Le vert profond du mur de verdure relève ses courbures élégantes qui ne peuvent s’écrire qu’en marbre.