Dédié au bois précieux …

« Leggio d’Orsay » Gae Aulenti, 1986, Bottega Ghianda.
Dans la bibliothèque, derrière les lourdes portes tendues de velours de soie, le lutrin déplie ses cadres en poirier massif pour restituer la part de rêve qu’un livre porte en lui. Alors tout devient légitime, et le livre ouvert à une réelle valeur visuelle. Exposé, il porte en lui un potentiel émotionnel formidable et devient une extraordinaire machine à rêve.