Grand ménage...

Les suspensions de Cooper Jacoby réveillent les fantômes du vieil hôtel particulier du XVIIIe siècle. Le ton est donné depuis l’entrée. Tout le long de l’exposition bien nommée « Grand Ménage », l’espace oscille entre présence et absence, hanté par l’âme des habitants qui vivent encore au dernier étage.