Le dieu vivant…

L’être en mouvement, qui allonge le pas, qui balance les bras, qui vit, que voit-il ?
Je le connais, nous allons ensemble vers Le marbre blanc d’Aristée, le dieu des jardins pour le rendre vivant. Il faut avant tout distinguer la nudité et le nu : un simple corps dépouillé de ses vêtements, qui suscite la gêne par absence de pudeur, diffère de la vision épanouie d’un corps remodelé et idéalisé par le photographe.