L’élégance…

Combien de vestibules traversés pour cadrer les départs d’appuis ornés de volutes, d’arabesques et d’entrelacs végétaux, pour fixer l’éclat de la ferronnerie dans une demi-obscurité ?
Combien de marches d’escaliers gravies pour saisir, telles des épures, les courbes du métal ?
Mon regard arrache l’œuvre du serrurier de la banalité utilitaire et quotidienne et lui redonne, grâce à la puissance de la photographie, sa qualité d’œuvre d’art. Tout se passe ici, comme si un mouvement ininterrompu venait bousculer l’ordre des lignes fardées d’un soupçon de lumière et de silence.
Toujours parfait!♥️🌟👍
Envoyé de mon iPhone
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