Respiration…

Respiration … Sur les chats de Varanasi, j’ai choisi un texte de Rabindranath Tagore, tiré de « L’universalité de l’homme » juillet 1912-1929.
« Ici tes pieds reposent où vit le très pauvre, l’infime et le perdu. Si je tente de m’incliner vers toi, ma révérence ne parvient pas à cette profondeur où reposent tes pieds parmi le très pauvre, l’infime et le perdu. Où ne hante jamais l’orgueil, là tu marches dans la livrée de l’humble, parmi le très pauvre, l’infime et le perdu. Mon cœur jamais ne trouvera sa route vers où tu tiens compagnie à ceux qui sont sans compagnon, parmi le très pauvre, l’infime et le perdu ».