Le banc…

Seul, face à la mer, au vent, aux vagues, tu sèmes en pointillé tes souvenirs et tes secrets. L’air frémit. Le matin monte. Tu as encore toute ta tête. Tu es vivant. Tes lattes blanches sont ton carcan. Ta muse des Roches Noires était plus écrivain que vivante. La plage est magnifique, c’est à la fois violent et d’une subtilité essentielle. La chose magique ici, c’est que plus on regarde la mer et plus on la voit.
Excellente vision et expression!
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Merci beaucoup Soizic
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