Le rêve prémédité…

À Deauville le rêve est prémédité. Loin du grouillement bruyant et coloré des planches, j’observe les géométries d’un escalier à contre-jour immergé dans la lumière qui entre par la baie vitrée du bel été des Franciscaines. Je cherche à capturer l’énigme architecturale en la réduisant à un noir et blanc cadré qui restitue l’atmosphère innovante du projet de l’agence Moatti-Rivière. Dans l’atmosphère onirique des chemins du paradis, les lignes se croisent et servent de rideau de scène à des perspectives où la clarté s’invite pour modeler et dévoiler une culture muséale recherchée et poétique à l’image de la station balnéaire.