la tactilité des toiles et du sable…

Dans un ciel d’azur, assez rare à Deauville, une mer de couleurs ouvre la marche en file indienne. Le photographe John Batho a dit : « photographier ces parasols, leurs formes et leurs couleurs, c’est construire des rythmes et les partager sur un mode joyeux, en retrouvant la même spontanéité que susciterait une boîte de peinture renversée sur la plage ». Je ne connais aucun autre endroit où l’ordre de la couleur éprouve à ce point le regard et attire autant l’horizon.