Le compagnon de voyage…

À Pushkar, marcher, c’est te rencontrer à chaque instant, c’est chanter au bruit de tes pas. Celui qui ouvre toute grande sa porte et en franchit le seuil reçoit ta salutation. Il ne reste point à compter son gain ou s’apitoyer sur ses pertes ; les battements de son cœur scandent sa marche ; car tu chemines avec lui pas à pas.