La géométrisation des formes…

Le monde du luxe est une façade en trompe-l’œil. Des aplats gris Christian Dior, juxtaposés à des fenêtres argentées, cèdent la place à des plans qui s’entrechoquent et se chevauchent, devenant translucides dans le ciel tourmenté de ce mois de mai. Réflexion solaire où les formes sont brisées, comme si on regardait la maison de couture de l’avenue Montaigne à travers un prisme. La bâche procède au décorticage de l’immeuble parisien afin de rendre apparente son armature et d’arriver ainsi au plus près de sa structure. Alors, ce qui n’y apparaît pas, se découvre.