La vitrine…

Dans la solitude du confinement, il y a une géométrie insoupçonnée dans le désordre quand tout devient immobile. Une équation sidérante de grâce dans l’orgasme au moment où tout meurt en étoile et même dans la rage, même là, dans la violence primaire de l’acte le plus arbitraire, une généalogie mystérieuse est à l’œuvre. Nous sommes tous des danseurs étoiles du vide.