l’oeil blanc de ta jeunesse
Photo/Gilles Dallière
Petit galet perdu sans ordre au milieu d’une solitude violée par les herbes sèches, les varechs et toutes sortes de débris des provisions humaines, tu restes imperturbable parmi les remous les plus forts de l’atmosphère. Je t’ai installé au creux d’une fenêtre d’un ocre jaune aussi pâle et aussi fané que ton gris pour mieux mettre en avant l’œil blanc de ta jeunesse. Objet du dernier peu, tu es de jour en jour plus petit mais toujours sûr de ta forme, solide et sec.
Heureusement il y a toi… 🤗
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