Le pied…

J’effleure du regard « Un Fleuve ». J’écarte la blancheur du marbre de Paros. Je remonte les contours immobilisés de la pierre dure à la chair. La sculpture de Jean-Jacques Caffieri retombe dans la nuit du musée du Louvre et je n’échappe pas à ce silence. À la froideur du marbre, je prends mon pied.