L’atelier du sculpteur…

Antoine Bourdelle, le centaure mourant, l’atelier, Paris, gildalliere, 2020

Ce centaure passe des heures à mourir dans la communion parfaite des lumières et des contrastes de l’atelier d’Antoine Bourdelle. L’homme-cheval, rongé de douleurs parce qu’il est immortel, obtint finalement du sculpteur de mourir dans l’enceinte du théâtre des Champs-Élysées. Il meurt sans plainte ni faux-semblants, sans voyeurisme non plus, la tête posée sur son épaule. Jérôme Godeau écrit : « Si les frisons de la robe, l’ondulation des flancs sont d’un modelé sensuel, l’allongement de la taille, l’envasement du torse, l’étirement de la ligne du bras et du cou s’inscrivent dans la perfection d’une figure géométrique ». Très haut, il tutoie les étoiles, les sabots profondément ancrés dans son socle de plâtre.

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L’atelier du sculpteur…

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