La coulisse.
Photo/Gilles Dallière/Cythère/Grèce
L’azur triomphe enfin, et je l’entends qui chante dans les cloches. La corde du campanile observe la froideur stérile de l’anneau dans lequel coulisse son ombre écorchée de lumière. Quand elle menace de bouger contre le fer épais, je l’enferme tout entière au creux de mon cadrage, et les oiseaux font un écho à leur silence. Un peu plus de soleil penche sa tête et le jardin s’incline dans le parfum des fleurs.