Photo/Gilles Dallière, Ile de Bendor
Aujourd’hui, ce désordre n’apparaît plus convenir aux ambitions touristiques, on avait construit quelques hôtels, pour touristes d’avant-guerre. Ils n’ont pas survécu aux destructions et à l’abandon. Le temps passe et fige chaque perspective. Le souvenir de mes impressions d’il y a dix ans sert de contrepoint. Je vous montre la violence du désordre, de la razzia, de la désolation.