Photo/Gilles Dallière, Alger 2002
La coexistence entre les écritures architecturales contradictoires a transformé depuis longtemps le paysage d’Alger en une séquence étonnante d’objets autonomes et cependant capables de dialogues. Je ne suis pas resté assez longtemps pour découvrir cette création urbaine unique, inscrite dans les relations entre l’Algérie et la France. La « ville blanche » déploie un paysage intense et harmonieux. Il me manque ce que je n’ai pas vu de la chronique urbaine d’Alger avec les édifices de Frédéric Chassériau, Benjamin Bucknall, Auguste Perret, Le Corbusier, Fernand Pouillon, Roland Simounet et le grand Oscar Niemeyer, entraînés tour à tour dans un tourbillon d’espoirs et de déceptions. À suivre un jour…