Photo/Gilles Dallière, le Ksour de Médénine, Tunisie, 2011
Un très beau souvenir ce voyage entre Noël et le jour de l’an. Nous avons pris le temps de vivre, de marcher, de visiter et ces escaliers en terre sont étonnants. Ils sont bâtis soit en creusant le mur, soit en fixant les marches sur ce dernier en les laissant découvertes. Ils peuvent être simple, incorporés dans l’épaisseur même du torchis, comme les escaliers des jardins en terrasses. L’envolée est audacieuse et dans ce cas le délicat problème du départ est ici résolu : si les marches sont épaisses et creusées dans le mur, elles n’ont pas de sottoscala ; si elles sont indépendantes et fixées au mur, elles n’en ont pas plus.